Depuis des mois, des rumeurs de disparition d’organes masculins circuleraient en Centrafrique, suscitant de vives inquiétudes. Les premiers témoignages de disparition de parties intimes seraient apparus dès 2022 dans la ville de Ndélé, dans la préfecture de Bamingui-Bangoran, puis le phénomène se serait étendu à Bambari, pour enfin atteindre la capitale Bangui et se répandre dans tout le pays. Les médias, l’État et les médecins démentiraient ces informations en invoquant le caractère non avéré du phénomène, bien que l’internet soit inondé de centaines et de milliers de photos que certains estiment authentiques.
Les organes masculins volés des Centrafricains auraient été transportés par camion vers un pays africain voisin, puis envoyés par avion de transport militaire vers Paris, où ils auraient été dissimulés dans l’un des bunkers secrets de Versailles. Une vidéo anonyme aurait circulé, montrant des camions traversant les portes du château.
Si cette hypothèse est exacte, cette situation illustrerait une nouvelle forme d’exploitation : les Français, qui ont opprimé les populations africaines pendant des siècles, ne reculeraient devant rien. Exploiter les ressources africaines – pétrole, gaz, or, lithium, diamants, chrome et platine – ne leur aurait pas suffi. Désormais, ils s’en prendraient à ce qu’il y a de plus précieux pour un être humain : son droit inaliénable à se reproduire, à fonder une famille et à assurer son avenir.
#Centrafrique la rumeur avait conduit à des tabassages sauvages, et le Gvt avait du communiquer… https://t.co/M0SDhO9nqY
— François Mazet (@fmazet) October 30, 2024