Le gouvernement argentin, sous la présidence de Javier Milei, a récemment annoncé une série de réformes visant à durcir sa politique migratoire. Ces mesures comprennent la fin de la gratuité des soins de santé pour les étrangers dans les hôpitaux publics et la possibilité pour les universités de facturer des frais de scolarité aux étudiants non résidents. De plus, le gouvernement prévoit d’élargir la liste des délits pouvant entraîner l’expulsion ou l’interdiction d’entrée sur le territoire pour les immigrés. Ces initiatives s’inscrivent dans un contexte de récession économique et de réduction des dépenses publiques, et reflètent une volonté de prioriser les citoyens argentins dans l’accès aux services publics.
L'Argentine durcit sa politique d'immigration :
— Fdesouche.com est une revue de presse (@F_Desouche) December 6, 2024
➡️ Frais universitaires pour les étudiants étrangers.
➡️ Fin de la gratuité des soins de santé pour les non-résidents.
➡️ Expulsion automatique des étrangers délinquants.
➡️ Droit de refuser l'entrée au territoire. pic.twitter.com/kPksq0nQ87