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18/12/2024

On pressentait que ce sujet controversé allait revenir sur le tapis. Après avoir laissé passer les cérémonies de réouverture de Notre-Dame de Paris, l’Élysée et l’archevêché de Paris ont annoncé mercredi, dans un communiqué commun, le nom de l’artiste chargé de créer six grandes baies dans les chapelles sud de la cathédrale Notre-dame de Paris.

Il s’agit de Claire Tabouret, artiste française de 43 ans reconnue et exposant ses œuvres dans le monde entier. Selon l’Élysée, « son travail a été acquis par de grandes collections et d’importants musées, tant en France qu’aux États-Unis ou en Chine ». (…)

Selon le communiqué, le projet proposé par Claire Tabouret « se situe à la hauteur de ce que réclame la cathédrale, tant par la très grande qualité artistique de la proposition et son insertion architecturale. » (…) Le projet est en principe prévu pour la fin 2026, même si l’association Sites et monuments a d’ores et déjà prévu de déposer un recours.

Le Figaro

29/01/2019

20/09/2018

“J’ai appris à faire confiance à mon instinct” déclare à l’AFP Agnès Troublé, créatrice d’Agnès b., à propos de “sa grande collection d’art contemporain” qu’elle abritera dans “La Fab” dont les portes ouvriront au printemps prochain à Paris.

“Ça c’était un cadeau, mais j’ai appris à faire confiance à mon instinct et j’adore découvrir des artistes émergents”, dit-elle, citant l’artiste Claire Tabouret: “J’aime sa peinture, elle y évoque beaucoup l’enfance”. Ce thème qui la “fascine est très présent” dans sa collection et dans sa vie, aimant à souligner qu’elle est, à 76 ans, “mère de cinq enfants, grand-mère de seize petits-enfants, arrière grand-mère de trois arrière-petits-enfants”.

RTL Luxembourg

11/08/2017

Claire Tabouret – Le passeur (2011) Acrylique sur toile 200 x 250 cm

Claire Tabouret, la peintre qui s’inspire des migrants

Depuis que François Pinault a jeté son dévolu sur ses toiles figuratives et engagées, l’artiste est très demandée.

Claire Tabouret (…) a patiemment creusé son sillon. Jusqu’à ce que la chance frappe à sa porte. En 2013, François Pinault annonce sa venue chez sa galeriste d’alors, Isabelle Gounod. Séduit, le milliardaire breton achète et le fait savoir. L’effet Pinault est immédiat : ses tableaux se vendent comme des petits pains, jusqu’à Shanghaï.

Dès 2011, lors d’une résidence à Marseille. Peu inspirée, déprimée, elle grimpe dans un bateau qui fait la navette avec Alger. Grâce à l’autorisation de la compagnie SNCM, elle fait quinze jours de va-et-vient sur l’eau, sans jamais mettre pied à terre en Algérie. Et en tirera des œuvres sur les barques de réfugiés qui traversent la Méditerranée.

Le Monde


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