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[…] À 22 ans, il découvrait la détention après avoir été interpellé en possession de fausses ordonnances pour se procurer du sirop à la codéine, utilisée de manière détournée pour ses effets euphorisants.

Quelques semaines plus tard, Robin Cotta était tué en détention par un codétenu. «Théoriquement pourtant, en France, on devrait être un seul détenu par cellule au quartier des arrivants», note l’avocat d’Odile Cotta, Me Étienne Noël. Or, selon ce dernier, Robin Cotta s’était retrouvé dans une cellule avec deux autres détenus, dont le mis en cause, «condamné à une peine en comparution immédiate de six mois, avec une semi-liberté accordée par l’administration».

[…] D’après Odile Cotta, le mis en cause était un détenu dont les accès de violences étaient connus de l’administration pénitentiaire. Surtout, son fils Robin avait demandé selon elle à plusieurs reprises de changer de prison  […]

Ce n’est même plus un assassinat. C’est une mise à mort. Mon fils a été donné comme de la chair à pâté.» […]

Le Figaro

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