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26/01/24

Ce scandale rappelle celui du Qatargate, où plusieurs membres du Parlement européen, dont son ex-vice-présidente, Eva Kaïli, ont été mis en examen après avoir perçu de l’argent en échange de la défense des intérêts du Qatar. Si la question du lobbying économique à Bruxelles revient régulièrement dans la presse, celle des ingérences idéologiques passe souvent sous les radars. Récemment, l’eurodéputée Nathalie Loiseau, qui dénonce les « ingérences d’Elon Musk dans les élections législatives allemandes », a été accusée par des internautes – accusations reprises par Marion Maréchal – d’appartenir à un think-tank financé par Soros, l’European Council on Foreign Relations (ECFR). Contactée, l’intéressée assure au JDD n’avoir « jamais travaillé sous la contrainte de qui que ce soit et ne percevoir aucun financement de l’ECFR ». Reste que la galaxie des ONG financées par l’Open Society Foundations est colossale en Europe, et va d’organisations de « promotion de la démocratie » à des associations à l’agenda islamiste, comme le collectif Alliance citoyenne, qui milite pour l’autorisation du burkini dans les piscines municipales et du voile dans les compétitions sportives.

« Quand je vois l’Open Society financer des associations favorables au port du voile pour les femmes, je ne suis pas d’accord, poursuit Nathalie Loiseau. Mais je n’ai jamais vu aucune activité de l’ECFR être influencée par les positions de Soros. Le directeur politique de Viktor Orbán est membre de l’ECFR, pensez-vous que l’on a les mêmes positions ? », renchérit la députée européenne.

Le JDD

19/01/24

18/01/25

15/01/25

Le Temps


Ecfr.eu

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