17/03/2024
Pascal Praud revient sur l'interruption d'Angers-Monaco pour casser le jeûne du Ramadan. Si la blessure imaginaire d'un joueur et l'aval du délégué de la ligue pour organiser l' "iftar", à la demande des 2 clubs, étaient prouvés, des sanctions devraient être prises pic.twitter.com/WFN0Lz9MVD
— Jean Robert (@Jean_Robert_29) March 17, 2025
16/03/2024
Match de foot interrompu à cause du ramadan : inacceptable. Plutôt que de soutenir le port du voile dans le sport, la ministre des Sports doit faire respecter la laïcité. https://t.co/WGGHgsO7XE
— Laurent Wauquiez (@laurentwauquiez) March 16, 2025
La LFP (Ligue de Football Professionnel) est chargée de gérer, sous le contrôle de la F.F.F (Fédération Française de Football), les clubs pros et d’organiser, au nom de la Fédération, la Ligue 1, la Ligue 2 ainsi que le Trophée des champions.

Reglement de la FFF : interdiction du voile islamique et de la rupture du Ramadan en vertu de l’article 1.1

Il s’agit d’une première en Ligue 1 puisque la Fédération Française de Football s’y oppose.
Une 13e minute symbolique. Pour la toute première fois en Ligue 1, un match de football professionnel a été interrompu le temps de quelques instants pour permettre aux joueurs concernés de rompre le jeûne du ramadUn principe de neutralité inscrit dans les statuts de la FFF et censé s’imposer à tous, qu’il s’agisse des instances, clubs, licenciés et arbitres. Au risque de sanctions, comme le précise la fédération : « Toute personne contrevenant à ces dispositions fera l’objet de poursuites disciplinaires et/ou pénales ». Ce dimanche, la FFF n’a pas encore réagi à cette interruption observée durant Angers-Monaco.an. Cette scène s’est déroulée ce samedi 15 mars lors de la rencontre Angers-Monaco, pour le compte de la 26e journée de Ligue 1.
[…]En France, la « 3-F » s’y oppose toujours, en vertu de l’article 1.1 de ses statuts. Elle avait d’ailleurs rappelé sa position sur le sujet en mars 2023 en faisant passer un mail − rendu public − aux arbitres français. Le document était signé par Éric Borghini, patron de la Commission fédérale des arbitres et membre du comité exécutif de l’instance du foot français.
Un principe de neutralité inscrit dans les statuts de la FFF et censé s’imposer à tous, qu’il s’agisse des instances, clubs, licenciés et arbitres. Au risque de sanctions, comme le précise la fédération : « Toute personne contrevenant à ces dispositions fera l’objet de poursuites disciplinaires et/ou pénales ». Ce dimanche, la FFF n’a pas encore réagi à cette interruption observée durant Angers-Monaco.