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19/03/2025

Dans la rue Marx Dormoy, les boutiques de télécom s’enchaînent, certaines sont totalement vides, n’accueillant quasiment pas de clients et aux vendeurs absents. Presque aucun commerces ne vend de biens alimentaires. Ce quartier fait l’objet de beaucoup d’attentions de la part de la préfecture de police qui veut lutter contre ce que l’on appelle des commerces de façades, ces commerces fantômes soupçonnés de servir à blanchir l’argent du trafic de drogue. (…)

Dans cette rue, aux boutiques fantômes, Gisèle garde le moral. Mais cette habitant de la porte d’Aubervilliers, qui vient régulièrement ici, constate le changement. “Ce ne sont pas des commerces de bouche comme on veut, des vrais commerces de proximité. Et là, je vois que ça a encore changé ici. Je ne comprends pas pourquoi. C’est surtout des Afghans qui reprennent les commerces. Pour moi, c’est pas clair“. La retraitée regrette le Paris des années 70 où elle avait tout a disposition. (…)

D’autant qu’à ce problème, se rajoute souvent celui de la violence. Il y a quelques mois, une cinquantaine d’afghans se sont affrontés en pleine rue lors d’une rixe très violente. (…)

France Bleu

(Merci à Apo.)


04/03/2024

Depuis la crise du Covid, des membres de la communauté afghane ont multiplié les rachats de commerces dans cette artère où agissent des vendeurs à la sauvette de même nationalité. Selon nos informations, police et justice s’intéressent aux conditions d’acquisition de certaines de ces boutiques.

Ils s’affichent en vitrine, sur la porte d’entrée, à l’intérieur près de la caisse ou entre les rayons. Dans le haut de la rue Marx-Dormoy, artère du populaire XVIIIe arrondissement de Paris menant à la porte de la Chapelle et son nouveau site olympique, l’Adidas Arena, des drapeaux afghans ont fait leur apparition au sein de nombreux commerces.

Selon notre décompte, 21 boutiques — épicerie, boucherie, coiffeur, téléphonie mobile, fast-food, bazar… — se sont mises, à une vitesse éclair, aux couleurs de ces bannières noir-rouge-vert en tissu, papier, fanion ou autocollant. Ils cohabitent parfois avec l’étendard tricolore 

[…]

L’article dans son intégralité sur Le Parisien


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