Emmanuel Macron a exprimé, jeudi soir, son souhait d’une « issue rapide » pour permettre à l’écrivain franco-algérien Boualem Sansal de « retrouver sa liberté » après les réquisitions prononcées à son encontre, qui demandent dix ans de prison ferme pour atteinte à l’intégrité territoriale de l’Algérie. « Ce qui s’est passé est très grave, mais je fais confiance au président [algérien Abdelmadjid] Tebboune et à sa clairvoyance pour savoir que tout cela n’est pas sérieux et qu’on a affaire à un grand écrivain, qui plus est malade », a déclaré le chef de l’État français devant la presse, à l’issue d’un sommet européen à Bruxelles, rapporte l’AFP.
