22/03/2025
Sept garçons âgés de 15 à 17 ans ont été interpellés mercredi lors d’une nouvelle opération de police, puis mis en examen. Cette bande d’adolescents masqués, agressait à Bordeaux avec une extrême brutalité des étudiants pour voler cartes bancaires, téléphones portables et vêtements de marque. En un an, 82 victimes ont été recensées. L’un d’eux est soupçonné de 28 agressions, les autres de 7 à 22 faits selon les cas.
Une première opération de police, mi-octobre dernier, avait conduit à l’arrestation de quatre mineurs âgés de 14 à 16 ans, “essentiellement receleurs” selon les autorités, mais 57 nouvelles plaintes avaient été déposées depuis.
Ceux qui refusaient de remettre leurs objets de valeur étaient roués de coups. Parfois étranglés, précise Sud Ouest. Un noyau dur de sept agresseurs a été identifié, mais le groupe pouvait monter jusqu’à 15 personnes autour d’une victime. Les agresseurs filmaient souvent la scène, selon un communiqué du préfet de Gironde et du procureur de Bordeaux.
Quatre mineurs ont été placés en détention provisoire. Un cinquième a été placé sous surveillance par bracelet électronique, un autre en centre éducatif fermé et le dernier sous contrôle judiciaire. Des perquisitions ont permis de retrouver « un nombre élevé des objets volés », selon la même source.
Merci à Aéro, moi et Taxi Girl
25/01/2025
Ils ont semé la peur sur leur passage. Depuis quelques semaines, une bande d’adolescents commettait des agressions et des vols aux abords de l’arrêt de tramway Cracovie, aux Aubiers. Trois d’entre eux ont été interpellés par la police. Ils ont commis au moins une trentaine d’agressions suivies de vols.
Les plaintes des victimes s’accumulaient et la bande semblait monter en puissance, détroussant le plus souvent des jeunes scolarisés dans le quartier. Les agresseurs agissaient le plus souvent en fin de journée. Armés de couteaux, le visage dissimulé sous une capuche, ils repéraient leur « proie » qu’ils isolaient pour ensuite la menacer et lui extorquer des objets de valeur : téléphone, chaussures, vêtements, AirPods, etc. Si la victime résistait, elle était frappée avant d’être dépouillée.
